29 juin 2007

Une structure innovante dans le monde bancaire : L’agence solidarité

Si le Groupe Banque Populaire est le premier financier* de la solidarité et de l’environnement grâce à ses produits d’épargne dédiés et au financement du microcrédit, la Banque Populaire Provençale et Corse vient de se doter d’une structure innovante dans le monde bancaire : une Agence Solidarité.

Interview de Philippe VIAL - Responsable Qualité de la Banque Populaire Provençale et Corse

« On peut être un géant bancaire et affirmer des ambitions citoyennes. Lancer, dans le même temps, une campagne de communication sur la Multirisque des Accidents de la vie et créer une agence vouée à l’entraide sociétale. En bref, se développer et gagner des parts de marché tout en affirmant son éthique.

Sur le marché de l’épargne solidaire, plusieurs établissements du Groupe Banque Populaire occupent une place de choix et, cette année encore, les Banques Populaires demeurent les premiers partenaires de l’ADIE pour le financement du microcrédit.
La Banque Populaire Provençale et Corse va plus loin pour ses 50 000 clients sociétaires, en imaginant et en créant une structure d’aide aux personnes confrontées à un accident de la vie.

Avec un objectif : offrir un service d’assistance et de conseil personnalisé à nos clients particuliers confrontés à des difficultés financières. Il faut toutefois être sociétaire depuis plus d’un an pour prétendre à l’éligibilité d’un dossier dont l’analyse permettra à la l’Agence Solidarité de proposer le réaménagement. Le caractère « accidentel et imprévisible de l’événement, affectant durablement les revenus du client », doit également être établi. Et cela, qu’il s’agisse d’un accident familial, professionnel ou matériel »


Ce nouveau dispositif, en jouant un rôle préventif, limitant les litiges et contentieux, s’inscrit pleinement dans la politique de développement durable engagée par la Banque Populaire Provençale et Corse.


* source : Adie & Finansol

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2ème forum national de l’emploi dans l’Economie sociale et solidaire

L'économie sociale et solidaire est en France un des secteurs économiques les plus dynamiques. C'est même le premier secteur en matière de création d'emplois si l'on cumule les emplois créés dans les mutuelles, les coopératives et les associations, avec les initiatives d'entrepreneuriat social sous forme d'Eurl ou de Sarl.

C'est dire si ce secteur, qui regroupe déjà plus de deux millions de salariés, est intéressant à découvrir pour les personnes en recherche d'emploi. D'autant que dans ce secteur, trouver un travail est aussi lui donner du sens en participant à des projets de toute nature au service de l'intérêt général. Ce qui n'empêche, contrairement aux idées reçues, ni de pouvoir y gagner correctement sa vie, ni de construire des carrières professionnelles solides et d'occuper des fonctions de responsabilités.

C'est pour permettre aux nombreuses personnes en recherche d'emploi ou de reconversion professionnelle de découvrir ce secteur que s'est créé le « Forum national de l'emploi dans l'économie sociale et solidaire ». Sa première édition en Octobre 2006, a été un vrai succès puisque plus de 3500 visiteurs sont venus découvrir les différentes offres d'emploi disponibles. La seconde s'annonce encore plus prometteuse. De nombreux partenaires, qui n'avaient pu se mobiliser l'année dernière, ont rejoint le projet. L'offre d'emplois disponibles au sein du forum sera de ce fait encore plus diversifiée et couvrira aussi le secteur des offres d'emploi aidés.

Pour compléter l'offre , une section « créateur d'entreprise dans l'ESS » sera proposée aux visiteurs. Animée par l'Avise (agence de valorisation des initiatives d'entrepreuneriat social), elle présentera les très nombreux dispositifs destinés aux entrepreneurs sociaux pour leur permettre d'élaborer, consolider et financer leurs projets, en particulier dans le cadre d'une démarche collective. Et, comme l'année précédente, de nombreuses conférences permettront aux visiteurs de se familiariser avec les différents secteurs, avec cette année une attention toute particulière portée aux discriminations à l'embauche et aux méthodes mises en place par l'ESS pour les combattre.

2ème forum national de l’emploi dans l’Economie sociale et solidaire
4 et 5 octobre 2007
Inscription en ligne

Organisation

Le CJDES (Centre des Jeunes Dirigeants et acteurs de l'Economie Sociale) est un lieu d'échanges, de réflexion et d'expériences qui permet à ses membres d'agir plus efficacement dans leurs activités et d'en anticiper les évolutions. Le recrutement étant un enjeu important pour les structures de notre secteur, le CJDES a souhaité, après le succès de la première édition du forum de l'emploi dans l'ESS, continuer à participer pleinement à l'organisation de cet événement dont la deuxième édition aura lieu en octobre prochain. Une occasion de promouvoir le secteur et de recruter de nouvelles forces et de nouveaux enthousiasmes.

L’AFIJ (Association pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés) propose ses services, gratuits, aux jeunes issus de l’enseignement supérieur en recherche d’un premier emploi : étudiants, jeunes diplômés à partir de Bac + 2, mais aussi aux jeunes quittant l’enseignement supérieur sans avoir validé un premier cycle.

Un sondage réalisé en 2003, révélait que 53 % des jeunes ayant répondu étaient intéressés par le secteur de l’économie sociale et solidaire, mais un sondage de cette année montre que si plus de la moitié d’entre eux souhaitent travailler dans une association, ils connaissent mal les autres structures de l’ESS. Pour répondre à cette préoccupation l’AFIJ a développé un service spécifique autour des offres d’emploi dans l’ESS, avec un site dédié à l’information des jeunes : www.jd-economiesociale.info . Il est donc naturel qu’elle soit, comme l’an dernier, coorganisatrice de ce salon qui s’inscrit au cœur de sa mission et de ses valeurs.

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27 juin 2007

Le trophee du createur "adie-banque populaire"

Communiqué - 29 juin 2007 - l’Adie et la Banque Populaire Provençale et Corse renforcent leur engagement en faveur de la création d’entreprise et lancent « le trophee du createur » adie-banque populaire

C’est vendredi 29 juin, à la Cité des Métiers de Marseille à 18h00, que Maria NOWAK, Présidente de l’Association pour le Droit à l’Initiative Economique (Adie) et François-Xavier de FORNEL, Directeur Général de la Banque Populaire Provençale et Corse signeront une nouvelle convention de partenariat en faveur de la création-reprise d’entreprise.

Ce partenariat a pour objectif de faciliter la bancarisation et l’accès aux financements des porteurs de projets, exclus de l’activité économique (personnes en recherche d’emploi et allocataires du RMI). Au delà de la création ou reprise d’entreprise, la coopération de la Banque Populaire et de l’Adie favorise la lutte contre l’exclusion.

Le « Trophée des Créateurs Adie-Banque Populaire » viendra récompenser également l’un des 350 créateurs accompagnés par l’Adie en 2006.

Une coopération de nature financière

La Banque permet à l’Adie de délivrer des microcrédits aux chômeurs et aux RMIstes souhaitant créer, reprendre ou développer leur entreprise dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Vaucluse et de la Corse.
En 2006, 200 000 € de ligne de crédit ont ainsi été mis à la disposition de l’Adie. Vu le succès de ce programme et la volonté de la Banque Populaire Provençale et Corse d’être à coté de ceux qui désirent entreprendre, les fonds seront doublés en 2007, soit 400 000 € alloués pour les futurs créateurs.
Un accompagnement conseil

En lien avec l’Adie, la Banque Populaire Provençale et Corse propose également aux exclus de l’activité économique de les orienter dans leur démarche pour faciliter leur installation.

Par cette coopération avec l’Adie, la Banque Populaire Provençale et Corse témoigne à nouveau son soutien à la création d’entreprise et participe à la lutte contre l’exclusion. Etre solidaire relève de son essence même, en agissant au quotidien dans le domaine du microcrédit et les finances solidaires.

Une mise à l’honneur des créateurs

Pour valoriser les hommes et les femmes qui font preuve d’audace, de courage et de professionnalisme pour créer leur propre emploi, l’Adie et la Banque Populaire organisent pour la 1ere année le Trophée des créateurs Adie-Banque Populaire. Doté de 1000 €, ce prix récompensera le parcours d’un créateur.

Le Groupe Banque Populaire
[ 1er contributeur de l’Adie en France
[ 8,15 millions d’euros de lignes de crédit accordé à l’Adie en 2006
[ depuis 2004, 5 800 prêts ont pu être accordés par l’Adie à des porteurs de projets
[ 1ere banque de la création d’entreprise, accompagnant chaque année 60 000 porteurs de projets,
[ 1 er distributeur de prêts à la Création d’Entreprise (PCE).

L’Adie
L’Adie est une association reconnue d’utilité publique qui aide des personnes exclues du marché du travail et du système bancaire classique à se mettre à leur compte grâce au microcrédit. Elle a été créée en 1989 par Maria Nowak en adaptant à la France le principe du microcrédit. Elle s’adresse à toutes les personnes au chômage ou allocataires du RMI.
Depuis sa création, l’Adie a financé près de 40 000 entreprises générant plus de 47 000 emplois.
Le taux de pérennité des entreprises créées est de :
- 64% sur 2 ans
- 54% sur 3 ans
75% des personnes financées par l’Adie sont sorties des dispositifs d’aide sociale

Banque Populaire Provençale et Corse
Adie
Association pour le Droit à l’Initiative Economique

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22 juin 2007

Les infos de l'appel des93

Egalité, citoyenneté, démocratie, vous y participez ! Deuxième partie

Second rendez-vous citoyen le mardi 26 juin à partir de 18h à la bourse départementale du travail de Bobigny. Afin de poursuivre le débat, approfondir les modalités du travail en commun initié le 13 février dernier et mettre en partage le projet d’Agora de la Seine-Saint-Denis, un espace dédié à l’exercice concret de la démocratie... Lire la suite

Les Décolleurs d’étiquette s’exposent avec Sakina M’sa
Sakina M’sa est bien connue en Seine-Saint-Denis... Sa résidence artistique et ses ateliers d’insertion avec des femmes du département font d’elle l’une des personnalités les plus attachantes de l’Appel des 93. Cette fois, c’est le musée du Petit Palais qui lui déroule son tapis rouge pour l’exposition "L’étoffe des héroïnes " à laquelle participent certains de nos Décolleurs d’étiquette. Vous êtes invités à découvrir cette expo à partir du 29 juin. Entrée libre. Lire la suite

Mardi des 93 en direct sur la Locale TV !
Le dernier Mardi des 93 de la saison intitulé Les richesses de la Seine-Saint-Denis et qui portera sur le patrimoine de notre département sera tourné, lundi 25 juin à partir de 18h, dans les conditions du direct dans les locaux de La Locale TV à Pantin (13 rue Gambetta) pour diffusion un mardi soir prochain. Lire la suite

Blankok dans les yeux : un documentaire pour décoller l’étiquette
Demba et Oussama avaient participé à la campagne Décollez l’étiquette lancée en février dernier. Prêts à relever le défi pour transmettre une image plus juste de leur département, ils ont réalisé un documentaire diffusé le cadre du festival Inkipit. Lire la suite

Coordination de l'Appel des 93

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Economie sociale et lutte contre le cancer

Communiqué : "Démarrage des travaux de la future unité de transplantation de thérapie cellulaire de l'Institut Paoli-Calmettes"

Après avoir apporté un soutien direct de près de 2 millions d'euros au projet u2T quatre banques mutualistes régionales, le Crédit Agricole Alpes Provence, la Caisse d'Epargne Provence Alpes Corse, le Crédit Mutuel Méditerranéen et la Banque Populaire Provençale et Corse renforcent leur mobilisation auprès de l'Institut Paoli-Calmettes pour soutenir la nouvelle unité de transplantation et de thérapie cellulaire u2T.

A l'occasion du tout récent démarrage des travaux d'u2T et parce que chaque euro peut devenir une arme contre le cancer, les 4 banques mutualistes lancent un nouvel appel à dons u2T dans leurs agences et auprès de leurs sociétaires.

Institut Paoli-Calmettes
232 Bd Sainte Marguerite
13009 Marseille
tél. : 04 91 22 37 48 - Fax : 04 91 22 36 12
communication@marseille.fnclcc.fr

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21 juin 2007

Economie sociale - Concours impact

Communiqué officiel d' Ashoka

Il est essentiel de donner aux Entrepreneurs Sociaux des outils pour qu’ils puissent démultiplier leur action positive pour la société. Ashoka a justement pour mission de contribuer à la structuration du secteur de l’Entrepreneuriat Social. Notre objectif prioritaire est de permettre aux organisations à vocation sociale et à but non lucratif d’avoir un impact social fort.

OBJECTIF DU CONCOURS

1 - Donner envie d’entreprendre autrement et appuyer le développement d’organisations qui ont un projet social intéressant.

2 - Stimuler la créativité en terme de mobilisation de ressources (levée de fonds auprès de partenaires publics, privés, génération de revenus…) avec comme objectif de permettre aux organisations de l’économie sociale de garantir leur pérennité et de maximiser leur impact social grâce à une base de soutien plus large – bénévoles, entreprises associées…

3 - Former les équipes participantes à l’utilisation de la méthodologie de Business Plan à vocation sociale pour les aider à planifier et mettre en œuvre leurs stratégies. Grâce à des sessions de formation, les organisations seront capables de créer des plans solides, de pérenniser leurs projets, et à plus long terme d'aider d’autres organisations à mieux structurer les leurs.

4 - Compiler des bonnes pratiques notamment en termes de modèle de développement et d’idées de mobilisation de ressources qui pourront être répliquées par d’autres organisations, à travers la diffusion d’études de cas.

Ce concours offrira un accompagnement de qualité aux 20 équipes candidates sélectionnées grâce à des partenaires comme McKinsey&Co, l’ESSEC et l’INSEAD. Les 3 équipes lauréates gagneront chacune 15 000€ pour développer leur projet et un voyage d’échange d’expérience pour rencontrer une autre organisation ; elles seront par ailleurs accompagnées pendant 1 an.

Inscription avant le 1 er août 2007

Inscription et règlement sur le site du concours

A propos de Ashoka

Ashoka est une organisation internationale qui a pour objectif depuis 25 ans d’aider au développement et à la structuration du secteur de l’Entrepreneuriat Social.

19 juin 2007

Epargne responsable ?

Epuisement des matières premières, surproduction, perte de créativité, environnement et conditions de vie mis en cause pour le simple profit, tout cela ne relève plus depuis un certain temps d’un discours militant mais d’une prise de conscience globale.

S’il aura fallut des décennies aux politiques pour en comprendre les enjeux, il ne fait nul doute que le mouvement est irréversible et va s’accélérer.

Si dans certains domaines, la machine est lancée (parfois très doucement)

Energies fossiles (travaux sur les bio carburants, le solaire et l’éolien)
Recyclage des matériaux (composants automobiles, emballages, …)
Diminution de la pollution automobile dans les centres urbains
Prise en compte des ressources en eau potable
Développement des transports en commun peu polluants

Cette machine a un nom : Le développement durable

« le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de " besoins ", et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »

Définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland

Si l’on s’en tient aux nombreuses déclarations qui pullulent dans les media, seuls nos dirigeants seraient en mesure de prendre en compte tous les problèmes au nom des citoyens. C’est vrai qu’on note de temps en temps des annonces de financement de nouveaux secteurs technologiques plus respectueux de l’avenir de la planète et de ses habitants mais, dans l’ensemble, rien de bien fondamental.

Pourtant, on s’aperçoit que les citoyens cherchent de plus en plus à peser sur l’avenir et pas seulement en donnant des mandats électoraux. Les nouveaux modèles économiques mis en avant par la mondialisation ont mis à mal les repères et donnent souvent une « prime » à la délocalisation dans des pays ne respectant pas les droits des salariés définis par le BIT

Mais comment peser sur des choix économiques et stratégiques aux antipodes de l’éthique et de l’avenir de notre vieux monde ?

Si les groupements de défense des consommateurs comme Public Citizen (le mouvement créé par Ralph NADER ) aux Etats Unis ont pu peser sur les entreprises, on a malheureusement constaté avec le temps des dérives consuméristes et un effet limité sur les pratiques et habitudes de production.

La suite logique consistait donc pour les citoyens consommateurs à s’intéresser à l’utilisation et à la destination de l’argent qu’ils confient au système bancaire. En effet, quelle meilleure façon d’agir que de refuser que son épargne permette à des prédateurs économiques de s’exonérer des règles d’éthique ?

Premiers pas de l’investissement socialement responsable en France

Le Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD) a lancé en 1983, le premier fonds commun de placement de partage « Faim et développement

Dans le même temps, naissait le premier fonds commun de placement éthique « Nouvelle stratégie 50 », à l'instigation de Soeur Nicole Reille . Son objet était de proposer aux investisseurs, particuliers ou institutionnels, des placements boursiers « respectueux de la place de l'homme »

1997 : Création de la première agence de notation sociale et environnementale française, AreSe (devenue VIGEO )

2001 : Création de l'EuroSIF et lancement de Novethic , le premier portail Grand Public sur la responsabilité sociale et l'ISR

Ainsi, grâce à la présence de ces agences de notation, il est possible de « donner un sens » à son épargne et de privilégier des critères de développement durable, environnementaux, sociaux, de gouvernement d’entreprise ou de droits de l’homme, …

Si la quasi totalité des établissements bancaires ont ajouté à leur gamme des fonds socialement responsables, la communication qu’ils en font auprès du grand public reste limitée. Sur le Web, il n’y a guère que chez l’assureur ISR Vie (dont les Unités de Compte sont exclusivement issues de fonds ISR) on l’ont fait preuve de pédagogie et de spécialisation.

Il n’en reste pas moins que : « Selon une étude publiée par Eurosif en 2006, l’encours total des fonds disponibles sur le marché français serait de 8,2 milliards d’euros fin 2005 contre 30,5 milliards d’euros au Royaume-Uni, leader en Europe»

Alors, les français seraient-ils moins concernés par la responsabilité sociale et le développement durable ? A mon avis c’est une question de … très peu de temps.

Sources et crédits
Forum de l’investissement responsable
Novethic
WIKIPEDIA

04 juin 2007

Energies renouvelables

Le Crédit mutuel méditerranéen lance une offre innovante

Seule banque exposante lors du salon DERBI (Développement des énergies renouvelables dans le bâtiment et l’industrie) organisé les 31 mai et 1er juin à Perpignan, le Crédit mutuel méditerranéen vient de lancer une offre innovante. Baptisée « Credinergie », elle permet aux particuliers de financer des équipements destinés à favoriser les énergies renouvelables dans leur habitat.

Les problématiques de développement durable sont considérés avec une très grande attention par de plus en plus de citoyens. "93% des Français souhaitent que leur logement soit doté d’équipements économes en énergie. Selon un sondage réalisé par Ipsos en juin 2006 pour Le Moniteur, 77% d’entre eux sont prêts à payer plus cher pour équiper leur habitat de systèmes utilisant des énergies renouvelables".

Soucieuse de s'inscrire dans ce mouvement, notre banque mutualiste vient de lancer un produit innovant. Baptisé « Credinergie », il permet aux particuliers de financer des équipements destinés à favoriser les énergies renouvelables dans leur habitat.

A l’occasion du salon DERBI, la table ronde intitulée « financement des projets énergies renouvelables » a permis à Jean-Marc Mathioudakis, responsable de l'animation commerciale du Crédit mutuel méditerranéen, de détailler cette offre.

Devant un parterre de 200 industriels, installateurs et particuliers, il a ainsi présenté ses arguments : contribuer à préserver l’environnement et financer des équipements destinés à favoriser les énergies renouvelables dans l’habitat.

Précisant : « Par exemple pour l’installation de : chauffe-eau solaires, systèmes de récupération d’eau de pluie, fenêtres isolées en aluminium ou en PVC ou capteurs solaires photovoltaïques, un financement est possible jusqu’à un montant de 20 000 € au taux promotionnel de 3,75% ». En complément, les économies d’impôts peuvent se cumuler avec des subventions régionales, départementales ou communales.

Jean-Marc Mathioudakis, responsable de l'animation commerciale du Crédit mutuel méditerranéen - 04 91 23 70 65 / mathiojm@cmsem.creditmutuel.fr

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